La Galerie numérique est un projet multifacettes
qui expose sur les lieux patrimoniaux et sur le web.
Sur sites
Une collection de dispositifs numériques muséographiques innovants, qui propose des interprétations révélant la richesse et la diversité patrimoniale du territoire.
A travers le site internet,
une galerie de portraits des lieux-ressources des patrimoines, ainsi que des ressources humaines qui contribuent à mettre en valeur l’ensemble de ces richesses : gestionnaires de sites, guides, chercheurs, entrepreneurs… qui œuvrent tous en faveur de l’excellence patrimoniale de notre région
2007
2011
La naissance du projet
C’est dans la région rurale du Morvan qu’a émergé l’initiative de la Galerie numérique. La première graine a été semée en 2007 à l’occasion du tricentenaire de la disparition d’un illustre Morvandiau, le maréchal de Vauban : l’exposition présentée à cette occasion à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine avait vu la conception par une entreprise bourguignonne d’un dispositif numérique original présentant des fortifications dues à ce grand ingénieur militaire, que l’on avait souhaité adapter dans son château de Bazoches. C’est finalement en 2011 que le projet a pu être lancé, grâce à la convergence de deux opportunités : le lancement du pôle d’excellence rurale « pays 2.0 » par le pays Nivernais-Morvan, centré sur les enjeux numériques, et la disponibilité de fonds publics d’Etat dans le cadre d’un plan local de revitalisation (PLR) consécutif à la fermeture d’établissements militaires à Château-Chinon.
L’idée de la Galerie numérique était simple : renforcer l’attractivité des principaux lieux patrimoniaux du Morvan par une offre numérique originale et créer une identité partagée par ces différents lieux à l’échelle du territoire. Le Parc naturel régional du Morvan a porté la première étape du projet, qui a constitué à mener à bien une étude de faisabilité et de définition, incluant l’identification d’une première série de lieux d’accueil de dispositifs de la Galerie et la mise en forme d’une esquisse pour chaque dispositif envisagé. Cette étude a été financée par le programme européen LEADER, l’Etat (PLR) et le Conseil régional de Bourgogne (programme Bourgogne numérique) ; elle a été confiée à l’entreprise ON-SITU, associée à l’agence d’ingéniérie touristique PV2D et au scénographe Yves Kneuse.
2011
2014
Les premiers « portraits »
Onze fiches-projets ont été préparées dans ce cadre, correspondant à autant de sites : musée du Costume et musée du Septennat à Château-Chinon, musée de Bibracte, musée de la Résistance et maison des Hommes et des Paysages à Saint-Brisson, mémorial de Dun-les-Places, musée des Nourrices et des Enfants de l’Assistance publique à Alligny-en-Morvan, château de Bazoches, musée Pompon à Saulieu et musée Rolin à Autun, à charge pour chaque gestionnaire de site de reprendre à son compte sa fiche-projet et d’en assurer le financement avec ses propres partenaires. Les premiers « portraits » de la Galerie numérique se sont ainsi dévoilés au public en 2013 (Autun et Bibracte), puis en 2014 (musée de la Résistance et maison des Hommes et des Paysages).
En 2014, un appel à projets touristiques du Département de Saône-et-Loire permet de raccrocher à la démarche l’abbaye de Cluny, lieu pionnier en matière d’application des techniques numériques à la valorisation du patrimoine géré par le Centre des Monuments nationaux. La même année, l’animation de la démarche collective est reprise par Bibracte.
2016
20XX
Une volonté de développement
En 2016, deux nouveaux portraits voient le jour, le mémorial de Dun-les-Places et le musée des Nourrices et des Enfants l’Assistance publique. Parallèlement, le lancement du site internet de la Galerie numérique permet d’assurer la promotion des différentes réalisations sur le web et de présenter les acteurs de ce projet, avec l’ambition de le déployer dans l’ensemble de l’espace régional de Bourgogne-Franche-Comté et d’en faire une vitrine de l’excellence régionale en la matière, tant par la diversité de ses sites patrimoniaux que par la richesse de ses compétences sur les sites patrimoniaux, mais aussi dans ses entreprises et ses laboratoires.
Cette initiative collective n’aurait pu voir le jour sans l’implication de nombreux partenaires :
